Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
billets d'une pensée ordinaire
billets d'une pensée ordinaire
Publicité
Archives
23 octobre 2010

Retraite: Faux prétexte pour une vraie colère

Sur fond de réel mécontentement populaire la gauche saisit le prétexte de la réforme des retraites pour manipuler l’opinion à son profit.  On plonge la France dans un désordre grave pour une mesure qui ne verra jamais le jour, pour peu que le peuple en décide ainsi  par les voies légales du système Républicain.

  1)  Cette réforme recule son plein effet en 2018

   2) Les nouvelles élections auront lieu en 2012.

3)       3) Si les électeurs sont contre cette réforme (ce qui parait évident) il leur suffira de voter pour la gauche qui abrogera aussitôt la Loi  avant même son application et ce en conformité  avec le  sentiment d’horreur que leur inspire ce texte (Promesse de Mme Aubry)

La plus élémentaire logique permet de faire remarquer que si la majorité ne basculait pas à gauche, c’est que le suffrage en aurait décidé ainsi, rendant ipso-facto cette Loi  légitime de par la volonté du peuple.

 

Cependant un tel agiotage n’aurait pu se faire sans un réel et profond malaise populaire.

 

a)    a)  L’action conjuguée de financiers axés sur le  profit et de syndicats maladroits conduit au détricotage  du tissus industriel Français,  propice au chômage des couches les plus populaires.

b)     b) Peut-être aussi le sentiment confus que la manne des emprunts qui nous font vivre pourrait se réduire, sinon se tarir, aggravant ainsi considérablement notre train de vie

c)      c Une Europe qui, dans la guerre des monnaies, réussit l’exploit de maintenir un Euro fort  avec  des résultats de croissance faibles.

d)    d) Des Pays émergents ou renaissants, tels que la Chine qui grâce à une exploitation de main-d’œuvre à bas coûts, au pillage des brevets,  à la contrefaçon,  le tout conjugué  avec un  système monétaire sous-évalué  relèvent de la concurrence déloyale.

e)    e) Enfin un sentiment d’injustice tel qu’il est proche de celui du temps de Louis XVI.

 

   

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité